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Rolling Stones Let It Bleed
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Chanteur mythique, groupe mythique, titres mythiques... ouf ! Le rock dans toute sa démesure et sa noblesse. Qui donc que Jim Morisson pouvait y parvenir ? Démesure verbale, musicale (à contre courant des standards musicaux de l'époque), de vie. Noblesse par la beauté, la poésie des textes et l'intelligence d'une musique d'une incroyable évidence. Ce double album
est en réalité la compilation de trois albums
des Doors enregistrés entre 1968 et 1970 dont le fameux
Absoluty Live, album phare dans la discographie des Doors,
ainsi que Alive She Cried et Live At The Hollywood
Bowl.
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House
Announcer |
Écoutez quelques extraits de ce disque: |
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©1991 Elektra Entertainment
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Complément
(et complètement) indispensable à l'album précédent
! Que dire sur ce disque alors que tant de choses ont été
dites ou écrites... Passons outre les louanges d'usage
le concernant. Tout d'abord, L.A. Woman (comme je pense
tout les disques de cette rubrique) génère principalement
deux attitudes (hormis l'indifférence); Dois-je préciser
où je me situe ? On retrouve tout cela au travers des trois extraits présentés, Been Down So Long et L.A. Woman avec ce son de guitare et la voix âpre de JIm Morrison, l'atmosphère poétique dans Riders On The Storm avec une très belle partie de piano de Ray Manzarek.
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The Changeling |
Écoutez quelques extraits de ce disque: |
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©1971
Elektra Record
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Et encore un album mythique !!! Remarquez, dans cette partie intitulée Les Dieux du Stade c'est un peu normal non ? Ici il y en aurait des choses à dire. Tout d'abord Jimi Hendrix. Personnage hors du commun, musicien et compositeur fabuleux. Réinventeur du son, poussant son instrument, la guitare électrique, jusqu'à ses deniers retranchements et même au-delà ! Ce disque est également un disque particulier dans la discographie de Jimi Hendrix. Il ne s'agit pas là d'un recueil de morceaux mais d'une oeuvre à part entière, cohérente, élaborée dans sa globalité. Au niveau de la dimension musicale, il me semble que Jimi Hendrix et John Coltrane ont énormément de points communs. Beaucoup (voir
tous) de titres sont remarquables sur ce disque. Par exemple
Woodoo Chile (version longue) long morceau traité
en blues, Still raining.... avec cette guitare omniprésente,
et puis l'intro de Woodoo Chile (version courte) ahhh
! Et dans Come One, quand à 1"15' juste avant son
solo, Hendrix passe sur le micro aigu de sa Stratocaster.....le
frisson ! Quoi d'autre encore ? L'ambiance jazzy de Rayny
Day, psychédélique de Moon, Turn The Tides...
Gently, Gently Away avec en prime un des très rare
solo de basse enregistré sur un disque de Jimi Hendrix. |
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Écoutez quelques extraits de ce disque: Still Raining, Still Dreaming - 198 Ko Voodoo Chile (Slight Return) -197 Ko |
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And The Gods Made Love Have You Ever Been (To Electric Ladyland) Cross Town Traffic Voodoo Chile Still Raining, Still Dreaming House Burning Down All Along The Watchtower Voodoo Chile (Slight Return) |
Little
Miss Strange Long Hot Summer Night Come On (Part 1) Gipsy Eyes The Burning Of The Midnight Lamp Rainy Day, Dream Away 1983... (A Merman I Should Turn To Be) Moon, Turn The Tides... Gently, Gently Away |
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©1968
Polydor International
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Il paraît
difficile de parler de ce disque, de cette musique sans tomber
dans des travers bien connus. A savoir sublimation d'un passé,
d'une époque révolu à jamais, admiration
béate
etc Experience fût
fondé en 1966 avec bien évidemment Jimi Hendrix
- guitare, faut-il encore le préciser ? -, Mitch Mitchell
à la batterie et Noel Redding à la basse. Ce balancement
sensuel et aérien souligné par cette voix qui
semble émerger de nulle part c'est bien entendu
.
Foxy Lady qui ouvre magnifiquement les festivités
! Peut-être un des morceaux les plus connus de Jimi Hendrix.
Manic Depression est quant à lui plus furieux,
moins chaloupé. On peut d'ailleurs saluer dans ce titre
le jeux de batterie de Mitch Mitchell qui propulse ses deux
compères avec énergie mais sans aucune lourdeur
dans sa frappe. Avec Red House, Jimi Hendrix nous rappelle
que le blues il connaît sur le bout des frets ! Et puis
quelle fluidité dans son jeu
Can You See Me,
Love Or Confusion, May This By Love, Remember
sont à eux seuls une sorte de retour vers le passé
de par leur teinture musicale assez daté années
60 I Don't Live Today, Fire doivent eux aussi
beaucoup à Mitch Mitchell, par ailleurs grand amatteur
de jazz, qui offre à ces morceaux toute leur puissance. |
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Foxy Lady |
Écoutez quelques extraits de ce disque:
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©1967
MCA Record
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Évidemment, nous restons dans le domaine du mythe avec Steppenwolf. Mais là, ça ne rigole plus. c'est du rock pur et dur au sens des années 70. C'est à dire que c'est une musique fortement politique, militante, qui se veut activiste. John Kay le chanteur et principal parolier de Steppenwolf n'a jamais caché ce que la société américaine des années 60/70 lui inspirait. On peut sourire de ces prises de positions. Cela serait oublier l'énorme impact social que tout un courant de la musique, notamment américaine, de l'époque à eu dans la société. Au fait le film
Easy Rider vous connaissez ? (en cliquant ici
vous pouvez accéder à l'un des meilleurs sites,
en anglais, dédié à ce film). Qui trouve-t-on
entre autre sur la bande-son ? |
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SOOKIE, SOOKIE |
Écoutez quelques extraits de ce disque:
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©1971
MCA Record
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Dernière
mise à jour le:
samedi, 1 janvier, 2005
©2000/2005 Vagabondage Musical / Jean-Pierre Ledrapier